Changement de décor. Quel monde était-ce? Quelle ville pouvait-ce être? Et les forçats hurlent derrière les barreaux pendant que des farfadets jouent leur musique démente. Il y avait ceux qui ne couraient pas, il y avait ceux qui ne connaissaient que le son de leur propre voix. Qui étaient-ce?
Mais le corniste est-il toujours seul? Il l'est. On n'en revient pas, on l'observe incrédule. Il transpire et se bat. C'est un difficile rodéo contre un instrument qui n'avait jamais vraiment été dompté. Lui, il y arrive. L'issue est heureuse, on souffle, et on l'entend faire de même, bruyamment, dans quelques-uns de ses vingt microphones.
Impressionnant tout ce qu'on peux faire avec un bout de cuivre !
RépondreSupprimer